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Bien que les chevaux de guerre élevés au sein de l'Empire constituent de parfaites montures au combat, ils sont loin d'être au niveau des superbes destriers bretonniens. Ces derniers, mesurant près de 20 paumes, font la fierté de la noblesse qui les élève avec soin. Ces montures sont donc très prisées et seuls les plus riches nobles de l'Empire peuvent payer les pots-de-vin nécessaires pour s'en procurer un.
Leur robe peut être de n'importe quelle nuance concevable pour un cheval. Ils sont grands au garrot et présentent une queue et une crinière naturellement longues. La plupart des chevaliers préfèrent tresser tous ces poils de rubans et d'amulettes, pour éviter d'être entravés dans le feu de l'action. Un destrier qui sert un chevalier bretonnien peut entreprendre la carrière de Brute.
Note : Une partie de cette description est tirée du livre Les Chevaliers du Graal.
Non défini.
Cette créature n'est associée à aucun trait de créature.
Points d'armure : tête 0, bras 0, corps 0, jambes 0.
Sabots.
Assez facile.
Un soldat moyen a assurément l'avantage, mais il risque de perdre quelques points de blessures s'il ne fait pas attention.