PJ : Gahub

Compétences (23)

Ambidextre / Ambidextrie, Baratiner / Baratin, Canotage, Chant, Contorsionniste / Contortionnisme, Dressage, Emprise sur les animaux, Endurance a la marche, Escamotage, Humour, Imitation, Intrépidité (Kender), Jonglerie, Musique, Orateur / Eloquence, Pari / Jeu, Perception, Réflexes de combat, Sens de la répartie, Soins des animaux, Spécialisation : Hoopack, Tripotage (Kender), Ventriloquie (Représentation).

Equipement

Histoire

Je connais Gahub depuis un jour de Kaldezeit, le soleil commençait à rejoindre sa couche, pour laisser à la garde de la Lune son royaume. J’étais encore jeune à ce moment, Gahub l’était aussi... Du moins je crois je n’ai jamais réellement pu inscrire un age sur ce visage inchangeant toujours souriant. Je ne l’ai compris que plus tard, mais il m’a sauvé la vie: le froid ou la faim m’aurait emporté jusque dans les tréfonds du royaume de Morr, s’il ne m’avait recueilli chez lui.
Cependant que je fus à l’abri du froid et de la faim, ma vie était loin d’être agréable: kender vient d’une famille nombreuse, il est le second de huit petits, et comme tous bons kenders qui se respecte ses frères et parents passaient leur temps à me tripotter, me titiller, me tirer les oreilles... Non pas par plaisir!! Oh non !! Les kenders sont de nature très doux, mais d’une irrésistible et despérante curiosité...
Je n’eu pas très longtemps à suporter cet tyrannie affectueuse, en effet, Gahub arriva en age où les kenders se doivent de quitter le logis appelé par cet appel du large, de l’aventure... C’est ainsi qu’un jour, il me secoua de bon matin en me soufflant discrètement.

"Débout le chien... Allez mon ami, c’est le grand jour..."

Essayer d’expliquer au jeune chiot que j’était ce qu’était ce jour pour Gahub, enfin il partait à l’aventure, enfin il allait voir ce que recelait l’horizon, enfin il allait quitter sa ville natale dans laquelle on étouffait, enfin il s’évadait, enfin il allait vivre... Juste avant son départ, une cérémonie eu lieu, où on l’introduisit à une jeune kender, et il griffa rapidement un bout de papier avant de s’élancer gaiement. Je les suivit toute la journée trottinant à ses coté heureux comme tout d’aller faire un petit tour hors de la maison, je crois que ce n’est seulement que le soir que j’ai compris qu’on ne reviendrait pas de sitôt...
Le lendemain, nous rencontrîmes un groupe très hétéroclites: il y avait des nains, des ogres, des humains, et même quelques elfes. C’étaient la fameuse "Troupes des milles folies" qui s’en allait donner spectacle dans tout l’empire. On accepta bien volontiers mon maître n’ayant jamais vu ni connu de kender dans la troupe. Mon maître y appris les bases du métier de bateleurs, il fut séduit par cette grande famille d’artiste. Il devint comme dévorer par cette flamme qu’est l’art du spectacle, et m’appris milles et un tour, à moi, l’hermine et le faucon, deux autres compagnons qui nous rejoignirent à cette époque. Ne me demander pas comment, ma mémoire de chien l’a oublier.
Mais la nature des kenders est ainsi faîtes que Hermann Stross qui dirigeait le groupe perdit patience vis-à-vis de mon maître, il du en avoir marre de chercher a tout va sa paire de lunette, la clé du coffre, ou encore ses sous-vêtements... Toujours est-il qu’il perdit patience et la troupe abandonna ni plus ni moins mon maîtres dans la grande ville de Nuln. Mon maître ne leur en veux pas, il évoque ces souvenirs avec le sourire, je me demande s’il s’est même rendu compte une seul fois de ce qu’il s’est passé...
C’est à peu près à cet époque que mon maître commença à me chevaucher, en effet j’arrivai à ma taille adulte et mon maître se trouvant assez léger et petit ne mis pas longtemps à flâner sur mon dos. Mon maître erra longtemps dans Nuln, avant de rentrer dans cette auberge, là aussi ma mémoire de caniné me fait défaut j’ai oublier son nom. Il entra donc dans cette auberge, et y rencontra un jeune homme qui interpellé par sa dextérité de ses doigts lui proposa une association. Cet homme maîtriser quand à lui la parole, c’était un fin parleur et un excellent imitateur et ventriloque, l’association consistait à un numéro en commun, Gahub se servit de ses dons innés de chapardages pour jouer avec les dés et les cartes, tout en ne perdant gouttes des enseignements de son nouvel ami, au début tout du moins. Car les kenders sont par nature pas méfiant et trouva normal que Heinz, car c’est ainsi que cet homme se prénommait, se repose de plus en plus souvent et prenne de plus en plus de l’argent qui lui était dus. Et pour finir, ce jeune homme s’éclipsa avec un beau magot, dérober à un boutiquier du coin pour refaire sa vie ailleurs, et en tant qu’associé Gahub fut accuser et traîner devant ce juge qui compréhensif le condamna puis le gracia et le libéra sur ces paroles:

"Allez paisible créature ignorant tout de l’humaine nature..."

Mon maître continua alors ses numéros mais même si le juge lui avait comprendre que c’était une nessécité d’être plus méfiant, Gahub était nettement moins bon gérant. Ce manque obligea mon maître à participer à des épopées à des fins commerciales. C’est de par ces épopées qu’il connu un certains Morrelion qui le, bien malgré lui, passionna pour la musique...

C’est l’histoire de ma vie auprès de mon maîtres qui erre encore dans ce vieux monde...