* La menace du carreau est claire. Aussi n'ai-je d'autre choix que de suivre l'inconnu et ses deux compères. *
" Pourquoi verrais-je inconvénient à accepter si pressante invitation ? "
" Après-vous cher ami. "
Dans les égouts
"Je n'en ferai rien voyons! Voyez vous, la confiance ne s'acquiert qu'avec le temps au travers d'échange de bon procédés.
Comme je vous le disais peu de gens descendent ici bas et cela nous convient parfaitement, nous devons nous accorder sur
certaines choses mais les lieux ne sont guère propice à une conversation à bâton rompu, vous pouvez m'appelez Franz par ailleurs.
Reinhart aurait tu l'amabilité de veiller à ce que notre nouvel ami, comment avez vous dis vous nommer? ne transporte rien a cause
de quoi il finirait immanquablement par être blessé? Nous allons également nous rendre dans un lieu plus confortable, mais le temps
que nous établissions cette indispensable confiance mutuelle nous allons devoir vous bander les yeux."
*Tu perçoit quelqu'un qui s'approche de toi par l'arrière et tu entend des déplacement sur ton côté arrière en même temps,
l'homme qui se tient face à toi est toujours souriant et détendu. Un grosse main se pose sur ton épaule, manifestement elle doit
appartenir à un homme puissamment bâti. Il te palpe de bas en haut et subtilise toute arme en ta possession. A moins que tu souhaite te
rebeller il te passe également un bandeau sur les yeux avant de te saisir par un bras qu'il te fait passer derrière le dos et dont il se
sert pour te guider quand d'une pression il te met en mouvement.*
"Soyez assuré que le trajet ne durera guère, vous me voyez désolé du désagrément mais prudence est mère de sureté
dit on. Par Ranald Reinhart, soit donc un peu plus délicat avec notre invité."
*Tu patauge dans le noir, avec ton escorte durant tout au plus cinq minutes avant d'entendre un porte grinçante s'ouvrir, l'atmosphère
ambiante change subtilement.*
"Nous voici devant quelques escaliers, mes associés vont vous porter si vous n'y voyez pas d'inconvénient, puis vous retrouverez
la lumière."
*Tu est saisi sans ménagement de chaque côté sous les aisselles, une odeur de sueur rance et de friture de poisson t'assaille les narines.
Manifestement l'hygiène n'est pas leur priorité. Par contre, malgré ton poids conséquent, ils ne semblent avoir aucun problème à te soulever.
L'ascension est brève, une nouvelle porte grince tu est déposé sur une surface molle et on t'enlève ton bandeau. Il faut quelques instants à tes yeux
pour s'acclimater au changement lumineux et tu cille vivement indisposé par la lumière ambiante. Face à toi se trouve trois homme, maintenant
que tu y vois mieux, celui qui tenait les crachoir est un homme de taille moyenne mais assez maigre aux cheveux filasse, actuellement occupé à se curer
les ongles avec la pointes d'un poignard. De part et d'autre de lui se tiennent deux colosses qui se ressemble trait pour trait. Franz reprend la parole*
"Ah voilà, ne sommes nous pas mieux ici, c'est tout de même plus confortable ici que dans les égouts, ils ont certes un grand intérêt pour qui les
connait bien, mais ce n'est pas le meilleur endroit pour tenir salon! Encore moins depuis ces derniers jours où l'on ne peu s'y aventurer sans risquer
de tomber de façon impromptue sur un intrus.
Voyez vous s'il ne paient pas de mine, nous les aimons gluants, silencieux et tranquilles ces égouts et l'on ne peut pas dire qu'ils l'aie été beaucoup ces
derniers temps. Si vous me disiez maintenant pour quelle raison saugrenue vous étiez sous terre par une si belle journée et ne me racontez pas cette histoire
de gobelin! Mes deux compagnons ici présents seraient plutôt d'avis de vous battre à mort avant de vous plonger dans la Bogen lesté de quelques cailloux.
Quand à moi je suis quelqu'un de plutôt accommodant et je suis sur que vous êtes quelqu'un de raisonnable et de chanceux, j'ai beaucoup d'amis dans cette cité
et il a été porté à me connaissance un certain tumulte qui n'est pas bon pour les affaires, est-ce que votre excursion dans nos égout n'aurait pas quelque chose à voir
avec l'activité inhabituelle de ce lieu habituellement si paisible?"
[Tu est bien sur libre d'interrompre à n'importe quel moment pour une tentative de fuite ou de retournement de situation, je sais que je n'ai suivi aucune de tes alternatives
mais les pnj ne sont pas tous des benêts nés de la dernière pluie ^^]
Dans le Parc de l'Adel Ring
*Alors que vous vous morfondez et ruminé le manque de chance flagrant dont vous faites preuve, vous apercevez Johan qui se dirige nonchalamment vers vous.*
"Mes amis je suis allé prier la déesse afin d'obtenir une aide quelconque et durant ma prière, je me suis dit que nous avions totalement oublié de retourner voir
le juge Richter, souvenez vous ils nous avait promis d'investiguer après que nous lui ayons apporté le bassin du gobelin, ce qui prouvait qu'il ne pouvait pas
être mort dans un entrepôt, comme le prétendait les autorités. Si nous allions nous enquérir de ses résultats?"