Source : Création Personnelle, proposé par Astartoss.
« Je me situais dans un petit village non loin de la côte de mon cher pays, La Lustrianie. Il y faisait bon vivre. Arrivé à mes 5 ans, mes parents me dirent : "Mon fils, il est temps pour toi de commencer ton apprentissage". Je ne savais pas de quoi il s'agissait mais je suivie mes parents dans les fins fonds d'une des grottes du village. Une musique bizarre y résonnait. Puis une fois arriver tout au fond je vis plusieurs jeune d'environ mon age et des plus vieux qui faisait des danses bizarres. Ils sautaient dans tous les sens. Un homme avec une coupe de cheveux toute aussi bizarre que le lieu s'approcha de nous et nous dit :"Voilà enfin le petit Kitzo","Oui, nous avons décidés mon mari et moi qu'il deviendrait capoeriste", "Très bien, alors Kitzo Ds Ginga tu fais désormais partie de notre culte". Puis mes parents partirent me laissant seul avec ces gens bizarres. L'homme, qui s'avérait être un prêtre, me conduit dans une salle éloignée de l'autre. Un autre prêtre, tel un professeur, parlait à un ensemble de jeunes. Après une petite discussion entre les deux personnes, on me fit m'asseoir. Et pendant plusieurs années, je fus enfermé au fond de cette grotte à apprendre cette art merveilleux que la capoera. Tous les jours, je priais mon nouveau dieu, Dakaskos. Vers l'âge de 8 ans le premier prêtre revint me chercher et, après avoir passé 3 longues années à apprendre les règles et les principes de cette art, je pus enfin passer à la pratique. Ce jour là, je vis un jeune homme d'environ mon age arriver avec ses parents, tout comme moi, et demander à entrée dans notre culte. Le prêtre répondit :" Mais tu n'es pas assez fort pour être danseur", " s'il vous plaît, mon Père!", "Bon, bon je vois mais il ne pourra pas être un danseur. Sais tu jouer d'un instrument?", "Oui mon seigneur" répondit le jeune homme. "Alors tu seras musicien". Et ils l'emmenèrent dans une autre galerie de la montagne. Cependant , je ne pus m'empêcher de les suivre et de les espionner. Mais malheureusement pour moi , je me fis prendre. Il me lancèrent dans une fosse ou il n'y avait qu'un seul issue. Je m'approchais de cette sortie et un homme en armure armé d'une épée en sortit. Le prêtre me dit: " Pour te punir, tu devras battre cette homme, ce gladiateur". Je perdis dans cette arène 10 ans de ma vie. Je vaincus mon adversaire et pendant encore 5 ans je le remplaçais. Cependant pendant c'est 5 ans j'ai espionné les gens dans la première salle les geste qu'ils faisaient et dans cette arène contre mes adversaire, je n'utilisais pas d'arme ce qui déplaisait beaucoup au prêtre, mais mes pieds comme un vrai capoeriste. A 23 ans, on me permit enfin de sortir de cette arène et on enseigna les gestes techniques. A 25 ans, on me dit " Reviens dans 1 an, jour pour jour, et on verra si tu es vraiment un capoeriste de Notre Seigneur Dakaskos!". Je rentrais finalement chez moi. Je m'entraînais toujours dans ma chambre à l'écart des yeux de la foules, car telle était la règle. Mes parents étaient fiers de moi. Une année passa, jour pour jour, et je me préparais à aller pour mon test. Quand je sortis, un étrange cris retentit dans la forêt qui bordait le village. Le guetteur nous cria " On est attaqué, on est att...", il se prit un couteau en pleine tête et il tomba raid mort au pied de sa tour. Tout le village s'agita, les femmes et les enfants se cachèrent dans leur maisons, les hommes prirent les armes et attendirent l'ennemis. Mais aucun ennemi n'arrivait, le guetteur se serait il trompé?? Soudain plusieurs hommes du villages crièrent et tombèrent ensanglantés. Et la horde apparut. Une centaine d'elfe, tatoués de signes bizarres. Ils poussèrent un cri qui fit trembler tous les hommes , fiers combattants du village. Moi apeuré par le cri je rentrais chez moi et je me cachais dans ma chambre. Je vis les elfes massacrer tous les villageois , les maisons furent pillées. Ma maison s'écroula sous les chocs de leurs attaques et je perdis connaissance. Je me réveillais brusquement. J'étais recouvert de planches et de poussière. Une fois sortie de ma tombe, je vis le massacre. Tout le village avait été entièrement détruit et tout le monde tué. Je me mis à fouiller tous les gravats des maisons essayant de trouver un personne en vie, mais rien pas un survivant. Quand soudain, un bruit, comme un cri étouffé. Je me dirigeais rapidement dans sa direction. Et je délivrais des décombres de sa maison, un jeune homme. Après l'avoir retiré des décombres, son visage me disait quelque chose. "Comment t'appelles tu???" lui demandais je. Il me répondit " Tan-Atloc et toi?", "moi Kitzo, Kitzo Ds Ginga". Dans le grand malheur du village, Tan-Atloc et moi étions les deux seuls survivants. Nous décidâmes alors de partirent à travers les mers laissant derrière nous notre cher village d'enfance. Notre traversée fut périlleuse. De multiples tempêtes nous ralentirent , nous dûmes aussi faire plusieurs escales sur des îles qui avait l'air de se déplacer sous nos pieds. Après 2 semaines de navigation hasardeuse, nous vîmes un port. Malheureusement, nous n'avions plus aucun moyen de ralentir ou de stopper le bateau à cause du trop grand nombre de tempêtes que nous avions essuyés. Alors quand nous fûmes à bonne distance de la terre Tan-Atloc, avec qui j'avais fais plus ample connaissance, et moi sautâmes sur l'un des pontons du port. Malheureusement, des hommes armées d'étrange arc nous attendaient. L'un d'eux essaya de communiquer avec nous, mais nous nous ne comprenions pas leur langage. Soudain l'un d'entre eux nous tira dessus avec son arc. Pris de panique j'esquivais la flèche tout comme Tan-Atloc,qui alla se planter au fond de l'eau. Tan-Atloc s'assit par terre et commença à jouer un instrument. Je reconnus le son de cette instrument, je l'avais entendu dans les fins fonds des grottes de Dakaskos. Alors emporter par le rythme de la musique je commençais à danser. Les hommes ne comprenaient pas si qu'il m'arrivait, pourquoi je dansais cette danse bizarre. Puis un groupe de 5 hommes enfin 4 hommes et un elfe, s'écartèrent nous laissant comme un passage. Tan-Altoc me dit d'arrêter, que ca ne servait à rien de les combattre, alors je m'arrêtais de danser. L'homme qui nous avait tiré dessus, se mit à répéter se que Tan-Atloc m'avait dit en exécutant une danse moqueuse, je me retenais de le faire tomber à l'eau, mais nous passâmes notre chemin. Nous trouvâmes une taverne et nous essayâmes de faire comprendre au tavernier de nous donner à manger et à boire. C'était plutôt amusant en faite. Puis nous allâmes dormir dans une salle de la taverne. Le lendemain, nous vîmes que beaucoup de monde était dehors, prêt à combattre. Après quelques gesticulations des combattants, le combat commença. Nous essayâmes de voir un peu de déroulement de cette dernière quand je vis au loin, un elfe. Et pas n'importe quel elfe, un elfe possédant les mêmes tatouages que ceux qui avaient attaqués notre village. L'armée qui nous attaquait fut très rapidement décimé grace à deux nains fort bien puissant. Mais l'elfe tatoué poussa un cri qui immobilisa toute la scène, comme un peinture, puis il chargea vers la ville, sans doute pour massacrer toutes sa population, comme il a été fait dans mon village. Alors Tan-Atloc s'assit et se mit à jouer. L'elfe se stoppa juste devant moi. Et un combat de titan s'engagea. plus il essayait de me frapper plus la rage montait en moi. J'esquivais toute ses attaques sans la moindre difficulté. puis il réussit finalement à me blesser légèrement au tronc. A se moment là, ma rage fut immense. Il essaya encore de me frapper mais après moultes acrobaties, il brisa ses deux épées. C'est à se moment là ou j'en profitais pour lui enchaîner plusieurs technique de danse que j'avais apprise. Puis soudain, j'entendis la musique qui s'accélérait, plus elle allait vite plus je me sentais fort et rapide. Finalement je fis décoller l'elfe en l'air puis après une ou deux vrille , je le propulsais loin dans la bataille. L'elfe fini sa course dans un épée planté dans le sol. Le peu de combattant qui restait furent agréablement surprit. C'est ainsi, une fois que tout les monstres qui attaquaient la ville furent mort, nous fûmes acclamés mon ami et moi comme des héros. »