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Fiche de personnage

Archibald
Nom Race Sexe Vocation Alignement
Archibald Humain Masculin Filou Neutre
Age Taille Poids Yeux Cheveux Expérience investie
16 ans 1m80 69 Kg Vert Argenté 100 XP
Carrière actuelle Cheminement professionnel
Bohémien Bohémien

Devise

Aucune

Religion

Ranald
  M CC CT F E B I A Dex Cd Int Cl FM Soc
Initial 5 40 31 4 4 6 31 1 34 28 29 24 36 38
Bonus +10
Actuel 5 50 31 4 4 6 31 1 34 28 29 24 36 38

Compétences (17)

Alphabet secret / Pictographie, Ambidextre / Ambidextrie, Attirant / Séduction, Baratiner / Baratin, Commerce / Marchandage, Connaissance des plantes, Danse, Escamotage, Evaluation, Guérison / Soins / Traumatologie, Immunité contre la peur, Jonglerie, Langage Secret : Tzigane, Musique, Résistance / Endurance à l'alcool, Spécialisation : Armes de jet, Vol à la tire.

Equipement

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Histoire

Historique des campagnes : Ailgepov, l'île hantée
Campagne en cours : Ailgepov, l'île hantée

Point de blessures : 10/10
Blessure :

Point de Folie : 0
Troubles :

Point de Destin : 2/2
2 de base

Point de fortune 2/2
2 de base

PROTECTION :
4 (E => naturel)
Armure :
Tronc : rien
Bras : rien
Jambes : rien
Tête : rien

ÉQUIPEMENT ACTUEL :
- Porte-bonheur en argent reprént la Lyre de Panasia - contient un point de fortune à usage unique
- x2 Couteau de jet (un caché dans chaque botte)
- Epée
- Luth
- Tricorne
- Bourse avec 14 Pistoles d'argent 10 sous de cuivre
- Vêtements propres, solides et pratiques
- Des bottes de cuir épais

HISTOIRE :
Bien le bonjour ! Je me présente, Archibald, chanteur, conteur, musicien, égailleur de soirées ou bien encore amuseur de bar. Cela doit faire à peu près une vingtaine d'années que je parcoure cette terre, je dois vous avouer que j'ai un peu perdu le compte tout le long de mon existence qui fut plus que mouvementé.

Je suis née dans une famille de paysans, mes géniteurs étaient deux enflures dont je me suis fait le plaisir d'oublier les noms. J'étais le seul enfant de cette famille, et je suis né avec une particularité assez singulière, puisque j'ai les yeux d'un vert pur et ai toujours eu les cheveux d'un magnifique blanc argenté. Enfin, ils n'avaient pas l'air d'être au gout de mes parents puisque du peux dont je peu me souvenir, j'étais à peine mieux traité que le chien des voisins à qui mon père bottait le dernière chaque fois que celui-ci s'approchait un peu trop de lui... Lorsque je sifflotait une chanson, mon père m'intimait d'arrêter avant que les "mauvais esprit" n'arrivent...

Mais un jour, le village découvrit mes parents tous deux morts dévorés par des loups. Et je vous le dis honnêtement, que ce soit des loups ou des brigands peu m'importe.
Quoi qu'il en soit, j'étais seul, et je n'étais alors qu'un enfant. Mais ce n'était clairement pas le village où j'avais grandi qui allait me tendre la main, car tous semblaient préférer me voir mourir de faim ou de froid que de me venir en aide. Mes géniteurs n'étaient pas vraiment très appréciés, et mes particularités physiques me prédestinaient plus au bucher qu'aux banquets...

Je dus donc partir pour tenter ma chance autre part. J'ai donc erré dans l'empire, survivant comme je le pouvais de vol ou de baies... Mais l'empire n'est pas un endroit fait pour les orphelins abandonnés, et il ne fallut pas un mois avant que je sois dans un état plus que lamentable. Ce qui était déjà un exploit.
Je ne dois ma survie qu'à ma famille, rencontré par chance au bord d'une route alors que j'étais aux portes du royaume de Morr.

Ils étaient des marginaux, comme moi, des gens d'un peu partout, une troupe de théâtre originaire des principautés frontalières, des bateleurs et artistes en tous genres, ou bien encore de nombreuses familles de tziganes. Tous avaient étés réunis par l'infortune et tentaient ensemble de survivre sur les routes impitoyables de l'Empire.

C'est ainsi que je fus en quelque sorte "adopté" par cette nouvelle famille, en particulier par les tziganes qui me considérèrent comme l'un de leurs enfants et m'élevèrent comme un vrai bohémien.

Pour tout vous dire, ils ne m'ont pas toujours autant apprécié, au début malgré nos similitudes, certains étaient encore méfiants vis-à-vis de moi. Mais un jour, alors que je regardais en sifflotant, les femmes de la communauté laver le linge sur le bord de la rivière, un des enfants qui jouaient à côté bascula dans l'eau et commença à être emporté par le fleuve. Les femmes, horrifiés mais impuissantes, n'avaient pu que tenter de rattraper le jeune malheureux qui était tombé bien trop loin d'elles.
C'est alors que malgré la peur que j'avais de me noyer, et, en dépit de tout bon sens, je me suis alors jeté dans l'eau pour le sauver. Man½uvre qui fut au final couronné de succès puisque j'ai finalement ramené l'enfant sur la rive, non sans passer à deux doigts de la noyade, car vous le voyez venir, non, je ne sais pas nager, et oui, j'ai bien failli crever ce jour-là.

Mais c'est cet acte de courage (ou de stupidité ?) qui me valu une place au sein de cette communauté.
Car c'est bien ma famille qui a fait de moi ce que je suis aujourd'hui, qui m'a appris tout ce que je sais, comment se débrouiller en ville, comment reconnaitre un trésor à un faux, ou encre comment discerner l'herbe médicinale salvatrice du poison mortel.

En fait, je dois dire que cette ambiance et ce milieu me permirent de me révéler, de m'apprendre en quelque sorte la vie, la vraie vie. Celle que l'on croque à pleine dent sans demander son reste et dont on savoure les arômes sucrés.

Bien sûr, tout ne fut pas toujours aussi rose, parfois, nous rencontrions d'autres groupes hostiles, des voleurs, des brigands mal avisés ou des petits monstres à nez crochus. Et là encore, je pus faire mes preuves en tant que membre utile de la communauté, j'étais fort, adroit avec une lame, et les après-midi passés à jeter des couteaux en compagnie du fils d'un lanceur de couteau se révélèrent fortes utiles.

Elément intéressant, mes cheveux, autrefois blanc argentés à ma naissance et durant mon enfance étaient devenus beaucoup plus blond clair que argentés, à la manière de certains enfants blond qui deviennent brun une fois plus grand m'a t'on une fois raconté.

Je dois également vous dire que j'ai toujours eu un attrait pour les arts du spectacle, je prenais un plaisir fou à contempler la troupe de théâtre de notre communauté répéter leurs pièces. Cela me remplissait de joie, sans que je ne sache vraiment pourquoi, il y avait quelque chose dans la gestuelle fluide des acteurs qui me ravissait au plus haut point. Je m'imaginais être un des protagonistes et je jouais ainsi à imiter ses manières et son caractère.

L'un de mes personnages préféré était un héros animé par une soif de liberté inarrêtable. Né paysan, il était devenu un bouffon tout particulier et s'amusait à punir les puissants qui par leurs actions privaient de leur liberté les plus démunis.
J'ai tellement aimé ce personnage que, je l'avoue, j'ai un jour volé un des masques de la troupe pour m'imaginer être l'acolyte de mon héros. Bien sûr j'ai rendu le masque à son propriétaire... enfin, après que celui-ci m'est trouvé entrain de jouer avec et m'ai coursé pendant plusieurs minutes à travers tout le camp.

Mais un jour, cette troupe nous fit l'honneur de nous montrer une représentation originaire de leur pays, dans leur langue. Bien sûr beaucoup d'entre nous ne parlions pas leur langue, mais le spectacle de la musique et des corps se suffisait à lui-même. Et c'est là que cela m'a frappé en plein c½ur !
La musique ! C'était cela qui me faisait tant chavirer le c½ur ! C'était bien les mélodies instrumentales qui me plaisaient le plus.
J'entrepris donc d'apprendre à jouer du luth, un instrument assez commun, mais tout de même assez capricieux. De par ma volonté et mon charisme (et probablement aussi mes très nombreuses et très répétées demandes), j'avais réussi à convaincre le joueur de musique de la troupe de m'enseigner. Les débuts n'étaient pas fameux, et il arrivait que je reçoive, amicalement, un peu d'eau ou de terre si je ne jouais pas assez loin d'une caravane habitée, ce qui, vous vous en doutez, faisait beaucoup rire mon mentor qui lui était un virtuose (et qui faisait toujours en sorte que lui et le luth qu'il m'avait prêté esquive à la perfection les projectiles dont j'étais la cible).

Mais je me suis perfectionné, et je fus bientôt assez bon pour que l'on tolère que je joue dans l'enceinte du camp, et mon mentor me laissait de plus en plus souvent seul, pour que je répète mes morceaux, ayant suffisamment confiance en mes capacités pour que je ne salisse pas le luth qu'il m'avait prêté avec la terre qu'on m'aurait jeté dessus. Et bientôt certains venaient écouter ce que faisais, peut-être était est-ce simplement pour me faire plaisir et m'encourager... mais, cela fonctionnait.
Et une fois, alors que je jouais de la musique, quelques mots m'échappèrent naturellement, la chanson m'avait tellement trainé, que cela m'était venu totalement naturellement. Mon mentor fut choqué sur le moment, et il m'avait alors demandé qui m'avait appris à chanter, devant ma réponse, ou plutôt mon absence de réponse, il décida de m'apprendre également le chant.

Cet apprentissage fut bien plus fulgurant et révélateur que pour la musique, déjà, car j'avais retenu la leçon des lancés de terre et des jets d'eau, et de plus les gens toléraient un peu plus mes chants, ils avaient vu que j'étais capable de m'améliorer sur un domaine aussi dur que la musique, alors sur un domaine où j'avais des facilités... Et puis tous commençaient à m'identifier comme le troubadour de la communauté, alors mes exercices vocaux passaient moins pour des bêtises puériles que pour l'enrichissement de mon éventail artistique.

Et les chants ne manquaient pas au sein de notre communauté, ainsi, je me fis au fil des années un petit répertoire de chants, certains étaient des chants marins, d'autres des chants militaires, et d'autres étaient simplement des chants traditionnels des diverses communautés que l'on pouvait rencontrer ou qui faisaient partie de notre communauté.
Et lors des fêtes au sein de ma communauté, j'étais celui, aux côtés de mes compagnons artistes, qui jouait de la musique et chantait nos airs les plus appréciés, cela m'empêcha d'améliorer mes pas de danse, mais cela m'importait peu tant j'apprécier voir les gens transportés par ma musique.

Ainsi, je vécu au sein de cette communauté les meilleures années de toute ma vie.
Mais ma vie allait de nouveau basculer.

C'était un matin comme les autres, nous nous étions installés à la bordure d'une forêt, et j'étais loin du camp en train de récupérer de l'eau quand des cris venant de notre camp me firent sursauter. Je m'étais alors élancé pour voir ce qui avait bien pu se passer.
Et ce que je vis fit s'écrouler mon monde tout autour de moi, des bandits attaquaient par surprise notre communauté, comment avaient ils put nous surprendre ? Où étaient nos éclaireurs ?
Mais alors que je m'élançais dans la mêlée pour tenter de sauver les miens, je fis une découverte cauchemardesque. Ces bandits étaient en fait des mutants et des créatures sorties tout droit des profondeurs de la forêt.

Je fis tout mon possible pour renverser la situation, mais trop des nôtres étaient déjà au sol, et je ne pus que m'enfuir jusqu'à la ville la plus proche.

Ma communauté annihilé et seul survivant de ce massacre, je fut donc forcé de recommencer ma vie dans cette ville. Il fut d'abord très difficile de vivre sans ma famille et mes amis. Les mois passèrent, et mes nuits redevinrent paisibles, jamais je n'oublierai ma famille, ni ceux qui me les ont pris, mais je ne pouvais pas éternellement tenter de m'accrocher à cette partie de ma vie et je devais accepter qu'ils n'étaient plus.

Les gens de la ville me regardaient avec un moins de crainte, et dans les tavernes j'étais libre d'exercer mon art sans craindre à ma vie, enfin, tant que ma tête et ma musique revenaient encore aux clients les plus ivres et les plus belliqueux.
Mais je constatait que, de par leurs appartenance à des communautés, avec lesquelles j'avais pu vivre, certains étaient malmenés ou persécutés.

De par mon caractère et ma vie passée, je me suis alors mis en tête de venir en aide à ces gens en détresse comme par exemple en assénant quelques phrases bien placés à l'adresse d'ivrognes un peu trop loquaces. Je ne me fis pas que des amis c'est sûr, mais c'est ainsi que j'avais décidé que je vivrais ma vie. Et au final, cela attira même l'attention d'une guilde aux activités disons, discrètes, dont je devins un des membres. Cela fait bientôt plusieurs années que ma vie est ainsi faite.

CARACTÈRE :
La liberté d'agir a toujours été chère à mon c½ur, et je souhaitait empêcher quiconque de me priver de ma liberté, moi ou n'importe qui d'autre.
Bien sûr j'ai une idée de ce qu'est la liberté. Je ne suis pas un idéaliste déchainé.
Pour moi la liberté c'est la possibilité de pouvoir faire les choix que l'ont souhaite sans contrainte ni dépendance qui pourraient entraver notre liberté, et cela tant que cela ne prive pas de sa liberté quelqu'un d'innocent.
Tout en en assumant les conséquences ensuite bien entendu.

Apporter un peu de joie et de beau dans la vie des gens me fait plaisir, c'est aussi l'une des raisons pourquoi je chante et je joue de la musique (en plus de pouvoir manger et dormir sous un toit). Je préfère vivre ma vie au jour le jour, profitant le plus possible de l'instant présent, car je sais d'expérience que l'on ne sait jamais quand viendra le prochain malheur, alors soyons joueurs, soyons rieurs !

On pourrait me qualifier d'être trop honnête dans certains cas, inconscient dans d'autres ou bien encore impertinent dans beaucoup, mais c'est simplement que je ne place pas l'importance des choses de la même manière que les gens.

RELIGION :
Ranald est le dieu que je prie et que je remercie tout les jours pour les bienfait qu'il m'apporte, j'aime sa malice et j'apprécie les histoires qui le dépeignent comme un personnage retord, jamais à court de bonnes idées pour s'en sortir. Et puis, dans mon milieu, il est toujours préférable d'avoir les bonnes grâce du dieu de la chance.

COMPÉTENCES ADDITIONNELLE :
-"Chant" remplace "Danse"

RÉSUMÉ DES BONUS / >CAPACITÉS ACTVIABLES :
>Escamotage
>Baratin
>Traumatologie / Soins

Tests de Marchandage + 10%
Tests d'embauche de bateleur +20%
Quémandage +30%
Test d'Evaluation +10% (marge d'erreur dans tous les cas = 5%)
Test de peur +10%
CT d'une arme de jet +15% jusqu'à 10m, +10% jusqu'à porté normale
Tests de Bluff, Marchandage et Commérages avec membres du sexe opposé +10%

Infos de l'utilisateur

SirSirax
Date d'inscription :
03/06/2019
Dernière connexion :
19/04/2024
Expérience :
5225 XP (Totale : 13025 XP)
Argent :
2974 CO 10/4
Joueur :
Maître de jeu / Joueur

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