Il existe deux Lunes dans le ciel du Vieux Monde. La plus grande porte le nom de Mannslieb (l'aimée de Mannan). C'est une lune blanche et ronde au cycle régulier de 25 jours qui commande aux marées. La seconde, plus petite et aux teintes verdâtres, se nomme Morrslieb (l'aimée de Morr). Son cycle est ératique et présente un faciès grimaçant qui annonce généralement les malheurs du monde.
Selon certains astronomes, Morrslieb serait uniquement constituée de pierre distordante. Ses pleines lunes sont généralement l'occasion des événements les plus étranges, ce qui lui vaut le surnom de Lune du Chaos.
Si Morrslieb ne semble pas suivre de cyle défini, elle se retrouve en général a l'ouest au printemps et au nord en hiver et apparait assez peu durant les mois d'été de l'avant et de l'apres-Mystères.
Les deux lunes ne sont pleines en meme temps que deux nuits par an : La nuit des mysteres en été, et la nuit des sorcieres en hiver, suite au nouvel an. (Voir le Calendrier Impérial).
Leurs vies dépendant des caprices des éléments et de la nature, les habitants du Vieux Monde sont devenus familiers des rythmes et même de certains secrets de la nature. Aussi, dépendant de leur environnement capricieux, les citoyens du Vieux Monde ont scrupuleusement étudié les événements afin d'anticiper les périodes d'abondance et de vaches maigres. Ils ont appris à observer tous les signes de la nature, la flore, la faune, les cycles, les premières neiges, le premier poulain de l'année, les étoiles et les lunes. On dit que les lunes exercent quelques influences sur les Dieux et sur la nature, que le comportement des lunes reflète la volonté des Dieux (personne ne sait comment cela fonctionne exactement). Chaque jour et chaque nuit donc, leurs secrets sont dévoilés à qui sait patiemment observer.
Deux nuits ont une signification universelle de puissance et de terreur, que l'on soit endormi ou éveillé. Ces deux nuits sont Geheimnisnacht, la Nuit des Mystères, et de Hexensnacht, la Nuit des Sorcières. Hexensnacht est la première nuit de la nouvelle année, tandis que Geheimnisnacht survient au milieu de l'année. Ces deux nuits sont remarquables car elles sont les seules durant lesquelles les deux lunes, Mannslieb et Morrslieb, sont pleines posant un regard torve sur le monde qu'elles
surplombent.
Des festivals et des réjouissances précèdent ces deux nuits, célébrés par les membres de la Foi Antique ou par les elfes adeptes de Liadriel. Pour les deux clergés, ces jours sont connus pour être des jours de changements et de transformations, reflétant les ambiguïtés, les absurdités et même les dangers que le monde présente pour ses enfants. Bien que devancées par des fêtes, ces nuits sont considérées par toutes les religions comme des nuits de grande peur et d'inquiétude, pendant lesquelles les Dieux sont moins puissants et le Mal parcours les terres sous diverses apparences horrifiques.
Durant ces nuits, les créatures les plus insensées surgissent des frondaisons des forêts et des entrailles de la terre. On raconte que même des morts se réveillent de leur sommeil éternel et dansent à la lueur des deux lunes.
On dit aussi que les enfants conçus ou naissant au cours d'une de ces nuits portent souvent une marque du Chaos, sont destinés à une vie de maudit ou héritent d'un caractère maléfique. Ils grandissent comme des impies, des déments, des dépravés ou pire. Les animaux nés ces nuits là sont considérés comme corrompus et en mauvaise santé. Ils sont sacrifiés loin des champs fertiles, des puits ou des lieux sacrés.
C'est durant ces nuits les plus redoutées que les plus mauvaises des créatures sont libres de leurs actes. Certains murmurent que, durant Geheimnisnacht et Hexensnacht, les Dieux abandonnent l'humanité pour s'occuper d'eux même, détournant le regard des horreurs qui se passent sous eux. Délaisser par leurs dieux, les gens barricadent leurs portes, laissent leurs volets fermés et espèrent que leurs feux suffiront à leur apporter chaleur, calme, sécurité et qu'ils n'attireront pas l'attention des créatures de crocs et de griffes convoitant leur chair.
Sous la lueurs des deux lunes, les Hommes-bêtes se rassemblent en harde pour des rituels dans les profondeurs des forêts. Ils attaquent des fermes et des maisons isolées, quelque fois des villages, pour sacrifiés leurs victimes à la gloire de leurs dieux et se repaître de leurs chairs durant des festivités orgiaques. Ces Dieux, dont il ne vaut mieux pas parler, susurrent de séduisants secrets aux oreilles des déments, des chasseurs, des meurtriers, des insatiables, leur offrant des pouvoirs innommables en échanges de leurs âmes ou d'actes sadiques ou pervers. Ceux qui acceptent leurs promesses s'aventurent alors hors des forêts pour se rendre dans les Désolations du Chaos. Ceux qui les déclinent sombrent le plus souvent dans la folie suite au traumatisme de l'expérience et deviennent une menace pour leur entourage. Même Morrslieb présente ces nuits là son plus horrible visage, arborant un sourire et un regard méchants pouvant pousser le plus vertueux dans l'horreur à la vue de ce masque monstrueux, comme si la lune elle-même prenait du plaisir aux traumatismes qui survenaient en contrebas.
Les histoires ci-avant sont dures et choquantes et, si elles sont vraies, il serait urgent d'expliquer comment la civilisation a pu survivre à ces doubles agressions de Geheimnisnacht et Hexensnacht qui se répètent chaque année. Cependant, peu de ces nuits atteignent ce paroxysme qui fait leur morbide réputation. Aussi, ces histoires représentent l'image de Geheimnisnacht et Hexensnacht telle qu'elle apparaît dans les pamphlet des répurgateurs, les sermons concernant les Jugements Derniers des divers cultes et ceux des plus fervents et puritains des prêtres.
En réalité, ces nuits ne sont pas aussi maléfiques que leurs descriptions le laissent supposer. Des choses étranges se passent, c'est indéniable. Les animaux nés durant ces nuits sont abattus et les enfants sont meilleurs s'ils ne viennent pas au monde sous la lueur cireuse et maladive des deux lunes. La plupart des gens s'enferment, récitant des prières et attendant le prochain matin qui les délivrera de leurs peurs souvent injustifiées, au moins pour cette fois...
Durant ces deux nuits particulières, de nombreux temples sont ouverts, avec des services toute la nuit, les congrégations priant et chantant pour que leurs dieux leur accordent leur divine protection. En sortant, les croyants retournent saufs dans leurs maisons avec l'assurance qu'une fois encore leur dévotion a tenu le Mal éloigné.
Cependant, il n'y a pas que les prières des dévots qui font que Geheimnisnacht et Hexensnacht ne sont pas systématiquement à la hauteur de leurs sinistres réputations. Des semaines auparavant, les répurgateurs, les templiers et des prêtres itinérants sillonnent la campagne pour débusquer ceux qui complotent malicieusement dans l'obscurité de la nuit. Les plus cyniques croient que ces hordes de fanatiques font plus de tort que ceux qu'ils pourchassent et persécutent. Dans les zones urbaines, les autorités arrêtent les fauteurs de troubles potentiels, s'assurant qu'ils passent ces nuits derrière des barreaux, laissant les milices locales tout loisir de s'occuper des menaces internes et externes.
Comme la plupart des gens restent chez eux et que la force publique est présente en nombre dans les rues ne tolérant aucun écart de conduite, ces nuits sont parmi les plus paisibles et calmes.
Cela ne veut pas dire que tout va bien. Ceux qui sont assez courageux pour regarder par leur fenêtre peuvent remarquer des silhouettes encapuchonnées et masquées se déplaçant tard dans la nuit au travers les ténèbres pour se rendre à quelques réunions secrètes. Ceux qui patrouillent les murs de la ville peuvent apercevoir des torches ou de mystérieuses lumières bougeant dans la forêt, entendre des rires ou des cris à vous glacer le sang. Peu sont assez courageux ou stupide pour s'aventurer dans la forêt pour enquêter sur ces phénomènes. Au petit matin, des gens s'éveillent et constatent que certains de leurs voisins ont disparu sans explication, bien qu'ils se soient barricadés la veille et qu'aucune trace d'effraction ou de vol puisse être relevée. Seul manque le propriétaire des lieux.
Ceux qui vivent à l'abri des enceintes urbaines peuvent avoir peur car ils sont souvent seuls, isolés et bien plus vulnérables qu'ils ne le pensent aux choses qui se déplacent dans les forêts ces nuits. Il serait absurde de croire que les hameaux ou les villages des campagnes soient les seules victimes des violences de ces nuits. En dépit de leur abominable réputation, ces nuits suivent des festivals religieux de la Foi Antique. Pour les fidèles de la Foi Antique, c'est le moment de prouver leur dévotion. La frénésie autour de ces nuits est simplement un autre aspect des cycles saisonnier et cosmologique qu'ils doivent anticiper, pour le meilleur ou pour le pire.
Les druides et les croyants se rassemblent dans les Cercles de Pierre et les Clairières Sacrées pour réaliser d'antiques rituels afin de protéger la forêt et ses habitants des dangers surgissant lorsque les deux lunes sont pleines. Le ton de ces rituels est plus sombre que ceux des équinoxes, mais c'est le devoir des druides de reconnaître chaque chose qui influence les cycles éternels des saisons. Ces nuits ont aussi une autre signification pour la Foi Antique : elles sont les nuits du changement durant lesquelles les règles normales sont suspendues et tout devient possible. C'est alors que les druides font les plus étranges présages ou conduisent des rituels ordinairement interdits.
Geheimnisnacht et Hexensnacht sont aussi très importantes pour certains cultes attachés aux grands clergés traditionnels. Ces croyants s'agitent jusqu'à la frénésie, vociférant des prédictions apocalyptiques d'une fin imminente, se flagellant et se mutilant, accomplissant des actes d'avilissement et de torture comme autant d'appels à leur dieu pour sauver leurs vies et/ou le monde ou pour les faire disparaître de la surface du monde quand sa fin surviendra.
Ces évènements célestes sont particulièrement intéressants pour les diseurs de bonne aventure, les devins et les astrologues du fait que durant ces nuits, les phénomènes les plus fascinants peuvent survenir. Morrslieb peut sembler avoir un visage, les lunes peuvent changer de couleur ou s'éclipser l'une l'autre, une pluie de météorites n'est pas à exclure ou tout autre étrange événement. Chacun de ses métiers est attentif aux informations contenues, selon eux, dans ces évènements. Hexensnacht est particulièrement importante car beaucoup croient qu'elle fournit des indications astrologiques sur ce que sera l'année à venir.
Alors quels sont ceux qui se risquent, s'embrassent ou même se réjouissent face aux dangers de ces nuits ? La plupart de ceux qui bénéficient de ces nuits sont ceux qui pratiquent les sombres arts. On accepte largement que les maléfices et les sorcières soient alors à leur apogée.
On dit que les rituels les plus difficiles deviennent possibles du fait que les sombres dieux et leurs servants démoniaques sont plus généreux et plus puissants à ces moments. Pour cette raison, nécromants et démonistes peuvent accomplir leurs rituels les plus ardus, leurs chances de succès étant maximales et la magie durant ces nuits plus malléable. Les praticiens de la magie qui ne donnent pas dans les arts sombres sont plus prudents. Ils n'expérimentent, ni ne jettent aucun sort ; pas seulement par peur d'être accusé de sombre sorcellerie, mais plutôt parce qu'ils croient que l'étrange corrompt toute magie lorsque les deux lunes sont entièrement visibles. Certains affirment que des sorts sont plus laborieux à incanter et que leurs effets sont souvent imprévisibles ou indésirables.
Les Guerriers et les Sorciers du Chaos savent que les dieux observent de près et se vautrent dans les rites d'adoration ravageurs de leurs servants. Ces nuits, les bandes chaotiques fondent, sans pitié, sur les fermes isolées, les hameaux et les voyageurs. Dans les forêts, les Hommes-bêtes se rassemblent pour danser, leurs chamans invoquent des démons et nombreux sont ceux qui reçoivent spontanément des dons sous la forme de mutation de la part de leurs divinités réjouies.
Les serviteurs du Chaos ne sont pas les seuls à bénéficier de la magie noire qui s'écoulent des pôles durant ces nuits. Les dévots de Khaine choisissent ces nuits pour rendre assouvir leurs pulsions assassines. Il plait à Khaine que les deux lunes soient les seuls témoins silencieux des meurtres perpétrés en son nom. Pour les suivants de Khaine, il n'existe pas de meilleur moment pour agir. Bien que leurs victimes puissent être plus prudentes et suspicieuses, jamais elles n'échappent à leur destin. Dans les terres de Naggaroth où vivent les elfes noirs, les rituels sanglants des sorciers de Khaine rivalisent aisément avec ceux des serviteurs du Chaos.
Certains espèrent que les méfaits et les misères répandus s'arrêtent là, ce n'est malheureusement pas le cas. Les adeptes de la Foi Antique croient que les créatures garous sont particulièrement sensibles au pouvoir des lunes, notamment lorsque celles-ci sont pleines. Elles n'ont alors plus aucun contrôle sur leur transformation.
Elles déclencheront vraisemblablement une crise de folie meurtrière. Les vampires et les liches sont réputés pour revenir au premier plan ces soirs là et pour remplir leur sombres agendas. On murmure que leurs vassaux devenus vampire lors des pleines lunes sont, pour l'éternité, dévoué à leur maître vampirique. Dans les cités, ceux qui sont maudits par la folie lunaire, un désir de tuer fluctuant selon les phases lunaires, sont incapables de réprimer leurs pulsions meurtrières jouant du couteau ou du rasoir dans la chair tendre de leur congénère.
Il existe bien sûr ceux qui, sans connexion avec la mauvaise influence des lunes, en profitent pour servir leurs propres intérêts. Ceux qui veulent commettre des forfaits profitent de Geheimnisnacht et Hexensnacht pour couvrir la véritable nature de leurs actes, que ce soit un assassinat, un vol ou tout autre chose. En l'absence de toute preuve, les autorités sont enclines à oublier l'incidents, le considérant comme un mystère de plus résultat de ces funestes nuits.
L'apparence des deux lunes annonce un afflux d'énergie magique provenant des portails sous forme de vents parcourant le monde, une énergie souvent maligne et sombre. Selon les nuits et les années, les pouvoirs des lunes changent. Ce qui suit est une liste des effets qui peuvent survenir durant chacune des nuits. Le MJ doit en choisir un ou plus, bien que les joueurs resteront ignorants des effets des pleines lunes. Ceux qui ont une longue expérience d'observation des phénomènes astrologiques ou astronomiques durant Geheimnisnacht et Hexensnacht et ceux qui souhaitent accomplir des rituels peuvent effectuer un test (Intelligence modifiée par Astronomie) pour déterminer quels effets se produiront. Ceux qui combinent Divination avec Astronomie ou Astrologie peuvent prédire les effets des jours, des semaines et même des mois à l'avance.
Ressentez le pouvoir !
La force gravitationnelle des lunes fait s'étendre temporairement les Portails Warp des pôles, gavant le monde d'énergie magique. Les coûts de tous les sorts de démonologie et de nécromancie baisse (un point de moins ou même une diminution de moitié s'il s'agit d'une nuit particulièrement sinistre.)
Les démons se passionnent pour les âmes :
Les démons sont prêts à tirer avantage de du potentiel de la nuit et sont particulièrement avides de pactes avec les mortels. Tous leurs tests de Force Mentale se font à - 20.
Les démons invoqués, hors de la protection d'un cercle protecteur, peuvent, au lieu d'attaquer immédiatement l'invocateur, simplement l'intimider pour conclure un
pacte ou un autre marché.
Les démons parcourent le monde :
Les démons invoqués semblent se nourrir de la lumière profane des lunes. Ils ne sont pas sujets à l'instabilité pour le reste de la nuit.
Folie !
Les lueurs malsaines des lunes projettent une influence funeste sur les mortels. Morrslieb peut même se fendre d'un sourire de joie démente encourageant tous les comportements les plus abjects. Tous les tests de Calme, en particulier ceux relevant de la folie ou pouvant entraîner l'acquisition de points de folie, s'effectuent avec un malus de 10. Tous les échecs, en particulier lors des nuits les plus intenses, octroient, dans tous les cas et en sus, un point de folie supplémentaire au gain habituel.
Le mépris de Morrslieb :
On raconte que certaines nuits, Morrslieb regarde ce qui se passe sur la terre et qu'elle est épouvantée par ce qu'elle y voit. Alors elle crache son dégoût sur le monde qui l'offense. Une pluie de météorites de malepierre tombe sur la terre semant la panique et la peur chez ceux dont les bien-pensants et la joie chez ceux dont les penchants sont différents. De telles nuits, rarissimes, sont le présages des temps troublés à venir.
Extension de la malédiction :
L'effet des lunes sur les lycanthropes est extrêmement fort. Tous les lycanthropes sont frénétiques et quiconque, gravement blessé par une créature garou, devient automatiquement sujet à la lycanthropie.
Les vents corrompus :
La magie s'écoulant sur le monde est enrobée du mal le plus sombre. Les moindres invocations ou incantations sont pleines de danger, même pour le plus expérimentés des sorciers. Ceux avec Sixième Sens, Sens de la Magie ou Conscience de la Magie sauront que quelque chose ne va pas dans l'air, mais occultez les détails, à moins qu'il ait déjà fait l'expérience d'un aussi exceptionnel événement. Ceux qui passent outre et jettent des sorts encourent de grands risques, aussi bien pour leur corps que pour leur esprit, comme s'ils étaient traversés par la plus noire des magies. Caque sort possède un pourcentage de chance, égal au nombre total de points de magie nécessaire à son lancement, de causer un Handicap Magique à son lanceur, comme si celui-ci était un sorcier mauvais ou chaotique. Aussi, d'un échec du sort résulte un Handicap Magique si le lanceur échoue à un test de Contre-magie. Les jeteurs de sorts mauvais ou chaotiques sont immunisés contre cela, mais ils sont remplis d'une sensation exacerbée de pouvoir.
Les morts sont sans repos :
La marée montante de magie sombre est une pure folie et les âmes en colère ayant envie de parcourir à nouveau le monde sont légion. Le nombre de morts invoqués peut être augmenté de moitié et, les nuits où les vents soufflent particulièrement forts, ils ne sont pas sujet à l'instabilité avant l'aube.
Les Orages Sorciers :
Il n'existe que peu de témoignage de ces phénomènes nommés Orages Sorciers. Ils surviennent lorsque les lunes sont masquées par des nuages noirs donnant des pluies acides détruisant les récoltes, endommageant les bâtiments et brûlant la peau, quand l'éclairage verdâtre abat le vertueux, quand le tonnerre fait écho au rire obsédant des sombres dieux et quand les vents ont la réputation de véhiculer la mort dans leur air vicié. Le danger de ces Orages Sorciers ne peut être sous-estimé.
Des catastrophes majeures en résultent avec leurs cohortes de morts, de destructions et de chaos. Les Orages Sorciers sont toujours accompagnés par une foule d'autres phénomènes. On prétend que lorsque le monde aura subit sa treizième nuit d'Orage Sorcier, ce sera la fin. Beaucoup pensent que le compteur est actuellement bloqué entre dix et douze.
Source : Warpstone
Bibliogaphie : La Campagne Impériale, Mort sur le Reik, L'Agonie du Jour, Realms of Chaos : Lost and the Damned, Gehemnisnacht (Trollslayer), White Dwarf #106